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d’Oscar Wilde

Le peintre Basil Hallward vient de finir le portrait de Dorian Gray.
Le jeune homme est déjà nostalgique de cette beauté qui se fanera progressivement tandis que le tableau lui rappellera ce qu’il fût.

Il fait alors le vœu que le portrait vieillisse à sa place. La magie opère : ce qui devait rester figé se modifie et celui qui devait changer se fixe à jamais dans l’éclat de sa jeunesse.
Le seul roman d’Oscar Wilde, publié en 1890, en pleine époque victorienne fit scandale. Cette décadence morale, cette recherche toujours plus poussée des plaisirs choqua ses contemporains. Ce roman rappelle « La Peau de chagrin » de Balzac, le mythe de Faust, l’esthétisme de Théophile Gautier.


Prélude au Portrait de Dorian Gray
Extrait d’Arte
Merci à Guy De Smedt pour ce montage technique 

Pour connaître leur histoire dans L’Odéon, cliquez sur la photo


Mise en scène
Sébastian Vanderick
Assistante mise en scène

Méro Psarradelis
Décor

Yves Jabon
Habillage Multimédia, Régie
Guy De Smedt
Costumes
Le grenier de Georges – Costhéa – L’enfant des étoiles
Assistantes coulisses
Pascale Drabbé – Josiane Royer – Nicole Detaille
Programme – Affiche -Flyers
Méro Psarradelis – Cecile Minot – Josiane Royer – Cathy Coolen – Alexandre Maurisset


Le spectacle


L’Odéon présente « Le portait de Dorian Gray « au festival

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